Srkat a écrit:Jeu du jour, Yakuza 4.
J'aime bien la série Yakuza, surtout son décor, on s'y croirait. Le japon, vu du haut d'une montagne de muscles. Et quand l'histoire nous lache un peu, on peut glandouiller peinard. Par exemple, aller en salle d'arcade claquer son pognon pour chopper des peluches de poussins multicolores, ce qui m'a fait marrer un moment vu le bourrin qu'on promene.
Et, grace a ce jeu, j'ai appris un truc: le pachinko, en fait, c'est chiant
Petite review que j'avais faite de l'épisode 3 -jamais terminé comme 99% des jeux auxquels je touche...- (possible perturbations de la taille des images) :
Sinon l'autre jour j'ai rejoué un petit moment à Yakuza 3 et c'était de nouveau un moment de pure hallu. J'avais trop trop l'impression de "jouer à un manga" dans la veine de GTO. C'était plutôt plaisant. Cette impression m'est venue, entre autre, par le fait qu'il m'a fallu environ 2h30 pour arriver à faire ce que je voulais (à savoir traverser le quartier pour me rendre simplement à un endroit) tant il m'est arrivée de chose en chemin. Récit :
- Ce qui suit spoil des évènements tant "principaux" que secondaires d'un ou deux chapitres donc je vous invite à vous épargner cette lecture si vous êtes plutôt persuadé de faire le jeu un jour. Il se peut que j'ai interverti des évènements également (ce qui ne change strictement rien à l'affaire) histoire de garder un semblant de découverte du jeu pour ceux qui le feront et auraient tout de même lu ce qui suit - C'était le chapitre IV il me semble et en tout cas j'étais encore à Okinawa. Au passage, j'ai lu dans plusieurs tests/commentaires que les habitués de la série n'appréciaient pas trop cette partie et s'ennuyait un peu en attendant le retour à Tokyo... Personnellement j'y suis toujours et j'apprécie grandement l'ambiance de la ville (enfin, des deux quartiers et demi accessibles) et surtout celle de la plage et de l'orphelinat. Quand je me déplace dans cette zone j'ai l'impression, non plus d'être dans un manga mais, tout simplement d'être dans un anime. "Dans", pas "devant". Totalement dépaysant ET agréable.
Vacances ;.;Ma partie, donc. J'ai repris le jeu à une cabine téléphonique qui m'avait servie de point de sauvegarde / gestion d'inventaire. Je ne me souvenais plus si j'avais déjà trouvé des clés de consigne et plutôt que de vérifier l'inventaire je décide de marcher jusqu'aux dites consignes afin de voir si j'ai l'occasion d'en ouvrir ou pas (durant tout le jeu on trouve sans arrêt des clés de consignes par terre et en hauteur. Elles permettent d'ouvrir les casiers qui contiennent tous des objets plus ou moins utiles).
En gros j'ai deux rues à prendre pour y arriver. Quelque chose de l'ordre de 30 secondes pour arriver à destination si pas de combat en chemin. Sauf que...
Je n'avais pas fait 5 mètres qu'un yakuza se dirige vers moi et me provoque sous un prétexte futile avec ses comparses. Deux cônes de signalisation et un vélo dans les dents plus tard il s'excuse humblement et me propose de prendre son argent en dédommagement.
"Après quelques coups le vélo cassa mais la roue je ramassa"Ca fait pas 6 minutes de jeu et je suis déjà en mode Onizuka... Je croise donc les doigts pour éviter les prochains combats avant d'arriver aux consignes et tout se déroule comme prévu. Sauf qu'à mi-chemin je passe devant l'équivalent du McDo local.
Tiens. C'est là que j'avais rencontré une assez jolie fille que j'avais eu l'occasion d'emmener au Karaoké -très chouette au passage!-. Je ne résiste pas à l'envie de vérifier si elle est à nouveau là, elle qui m'avait abordée sous prétexte qu'un des types attablé la suivait. Je rentre. Et bingo, elle se trouve bien au même endroit. Ni une ni deux je choisis de la sortir et de l'emmener dans un restaurant cette fois. Très nombreux dans le jeu ils permettent de reprendre de la vie... et de gagner de l'expérience en y mangeant !
"You, me and a special time in a special room mmmh ?" *clink clink*Notre petit tête à tête se passe bien, y a des cœurs partout et en sortant elle me confie qu'elle a une requête à me faire: Son père, patriarche de famille riche, ne voit pas d'un bon oeil que sa fille unique vive seule à Okinawa. Ne pourrais-je pas jouer le rôle de son petit ami à sa prochaine visite ? J'accepte et prend congé après qu'elle m'ait promis d'appeler sur mon portable dès son arrivée. Surprise!, je n'ai pas fait 4 mètres de plus en direction des consignes que mon gsm sonne.
Papa et sa fille m'attendent au pied de la station de trains... là où j'ai commencé mon parcours de l'Enfer il y a moins d'un quart d'heure ! Décidant de jouer le jeu -contexte d'urgence- j'opère un magnifique demi-tour avec le joystick gauche et je fends la foule en direction de ma "dulcinée".
Arrivée; présentations; "Etes-vous sûr d'être la personne idéale pour ma fille ?". La réponse "oui" entraîne donc la réaction attendue: "Prouvez le en battant le garde du corps de la famille !".
Une poubelle et trois prises plus tard, Papa m'avoue qu'il savait depuis le début pour notre arrangement, qu'il est content que sa fille ait un super ami et me tape dans le dos avant de filer. Je m'attends donc à pouvoir reprendre la route Sacrée Vers Les Consignes mais non, la fille n'en a pas fini avec moi: Elle se rapproche, minaude en me remerciant et m'explique qu'elle tient à me montrer sa grande reconnaissance... Changement de décor: Nous nous retrouvons devant un Love Hotel -toujours ce côté manga très présent je vous dis- après un entretien visiblement intéressant puisqu'il y a des coeurs partout, que "oh oui tu es l'homme de ma vie Kiryu" et que je ramasse 5000 points d'expérience
Enfin la paix. Je regarde autour de moi et pousse un (faux) soupir de (faux) agacement: Le quartier "chaud" est à l'opposé de celui des consignes, le point de départ étant maintenant à peu près à mi-chemin de ma position actuelle. Je me remets donc en route mais bien vite un groupe de "street punks" m'avise que mes fringues sont forts sympathiques mais leur iraient encore mieux à eux. Le chef de la bande en est particulièrement persuadé puisque le combat commence avec sa sale main pleine de doigts sur ma chemise. Ni une ni deux: QTE (ultra simple d'une touche) et le voilà qu'il vole à travers la vitrine de la galerie voisine -en fait de galerie il s'agit d'un "magasin" avec des affiches de lieux et où un steward vous renseigne sur les lieux de la nuit des environs-.
Je finis de m'expliquer avec le reste des manants, m'attendant presque à voir Kazuma -le héros- s'acheter des Air Max avec leur argent comme Onizuka dans le tout premier tome de GTO (je crois). A défaut d'air max je récolte encore quelques milliers de yen.
Hop, un petit crochet à l'intérieur de la galerie tant qu'à faire mais le steward ne m'apprend rien de nouveau... hormis le fait qu'il n'a pas encore eu le temps de faire le ménage (et effectivement je marche encore sur les bris de verre). Bon. Cette fois c'est décidé, j'arriverai à la consigne en ligne droite !
...
Mais attendez là, oh... Qu'est-ce qu'il fout le petit gros à jouer les équilibristes au bord du canal ?? Nan mais ça va pas ? Vous voulez bien descendre monsieur!! Ah, vous allez me raconter vos malheurs... Etrange comme je m'y attendais.
Bon, le dit monsieur était en dette et à contracté une assurance-vie dans le but de se suicider et faire obtenir l'argent à sa famille avant qu'on leur casse tous leurs genoux. Je lui explique donc que ça ne marchera pas, qu'un suicide c'est pas une mort naturelle et que de toute façon un décès dans l'année suivant la signature du contrat est classé "trop suspect". Comme il panique en se demandant quoi faire à la place je lui conseille simplement de "travailler plus pour gagner plus". C'est à la mode en ce moment paraît-il
Le coeur empli de joie à l'idée d'avoir empêché l'eau du canal de devoir charrier un gros débris je reprends ma route vers [...] et arrive à mon premier point de départ, la cabine téléphonique au pied de la station de trains. J'en profite pour voir les choix qui me sont proposés et ils n'ont pas évolués puisque liés au scénario: Je peux me rendre à l'orphelinat (et tenter de réussir à pêcher un poisson après avoir ramassé un vers dans la cour) ou aller directement au club de golf où je suis sensée rencontrer un élu de la ville concernant un problème de maltraitance d'enfant, enfin de racket plutôt.
Oh et puis merde. Golf.
"Tiger Wood a tout perdu. Moi je vais tout gagner"Après avoir suivi la petite cut-scène qui a un arrière goût de deus ex machina me voilà introduite sur le parcours en compagnie de l'élu en question. L'occasion de jouer à un des mini-jeux plutôt pas mal fichu, un clone à peine moins bien des productions du genre (gestion des clubs, de la force de frappe, du point d'impact, des types de terrain etc).
La victoire en poche je compte bien reprendre mon périple sans fin mais non. Après réflexion et toujours dans l'idée de "réalisme" je décide de me rendre à l'orphelinat pour mettre un terme définitif au problème. Ce qui me conduira à la fin du chapitre et au début du suivant après quelques dialogues d'ambiance.
C'est ainsi que je me retrouve le jour suivant à gérer un autre problème des enfants à ma charge: L'une d'elle s'est fait voler son argent de poche. Et comme des types louches tournaient autour de l'orphelinat c'est plutôt inquiétant, non ?
L'affaire réglée je décide de profiter de la soirée pour me rendre à nouveau en ville et la parcourir pour la première fois en mode "nuit". Quelques secondes plus tard me voilà à nouveau à proximité de l'éternel escalier de la gare qui sied à côté de la non moins éternelle cabine téléphonique. Ainsi que d'un groupe de rageux à qui m'a tête ne revient pas.
Deux bouteilles en verre, une enseigne de magasin et quelques milliers de yen plus tard je continue ma route et arrive de nouveau devant le McDo made in Okinawa et décide d'avaler un morceau histoire de me refaire une santé: En effet dans le groupe gentiment remis à sa place à l'instant se trouvait deux voyous fortement charpentés m'ayant renversée une ou deux fois avec aisance de par leurs statures respectives.
Je m'attendais à ne PAS voir ma reconnaissante amie et je n'ai pas été flouée: A sa place ce tenait une autre non moins belle jeune femme :3
Oubliée la résolution. Je l'emmène au karaoké espérant faire autant mouche qu'avec la première... qui m'envoie à l'instant un sms me précisant que je suis l'homme de sa vie etc etc. Deux chansons plus tard on se quitte bons amis et je me rends d'un bon pas... à la fichue cabine téléphonique -sauvegardant au passage- puisque le karaoké, à l'instar du Love Hotel se trouve dans le quartier le plus éloigné. Les trente secondes de jeu se sont déjà transformées en pas loin d'une heure et demi...
"C'est la danse des canards, qui en sortant de la mare, se secouent le bas des reins et font coincoin"Je pensais être enfin libérée du poids des lourdes responsabilités quand un petit éclair brillant attire mon attention dans une ruelle: Les clés de consignes sont nettement plus visible de nuit apparemment et clignotent à l'écran tels des feux d'échoueurs de navires.
Vite fait, je la ramasse avec une petite pensée émue à la personne à qui je vais bientôt emprunter un objet à long terme.
Mais ne voilà-t'y pas qu'une autre clé me fait signe au loin, m'entraînant dans une direction autre que celle voulue ! C'est ainsi qu'une orgie de clés plus tard je me retrouve à proximité de deux personnes discutant âprement. Visiblement une mère panique, son enfant ayant été enlevé.
Ni une ni deux je propose mon aide et règle le problème..... près de mon point de départ. NONDIDJÛÛ !! Le destin refusera-t-il éternellement de me conduire dans la foutue bonne direction ? En tout cas c'est ce qu'il semble penser puisque je bouscule malencontreusement le chef d'une bande de yakuzas. L'homme en question se jette à terre et fait mine d'avoir la jambe cassée, ses collègues s'empressant de me réclamer un million de yen pour les frais médicaux. GTO ne plane pas loin vous dis-je.
Il ne fallait pas moins de ce cinéma pour que je reconnaisse le filou: Lors d'une précédente rencontre il avait prétexté une fracture au bras pour (tenter de) me soutirer de l'argent durement gagné !
Inutile de dire que l'histoire se termina de la même façon malgré le nombre de punching-ball plus important (au passage le jeu propose de donner l'argent plutôt que des câlins). Et une fois n'est pas coutume je reçois un objet plutôt que du liquide (de l'argent, bande de sales déviants, de l'argent !).
Paf, inventaire plein malheureusement. J'envoie donc (automatiquement) un objet vers ma "planque" et décide de faire un tour à celle-ci pour réarranger mes objets et enlever la multitude de choses glanées par ci par là et qui me sont totalement inutiles actuellement, par fait ou par choix: radio cassée, armes, boissons nutritives, colifichets, ...
Je fais rapidement le ménage et m'apprête à reprendre ma quête quand une tête connue vient me demander une aide immédiate: La fille adoptive du boss yakuza du coin avec qui je me suis déjà expliquée a été enlevée !
Le chef du coin a au moins un argument tranchantQuelques dialogues et bourre-pifs plus tard je me vois contrainte de nettoyer tout un Q.G. "ennemi" non sans avoir fait la rencontre d'un marchand d'armes en tout genre et m'être procurée un long bâton bien pratique.
D'étage en étage ce ne fût que sueur et corps étalés. Me doutant de l'existence d'un boss de fin j'économisai mon arme (cassable comme toutes les autres), préférant ramasser battes et katanas sur les yak' trop bêtes que pour m'éviter. C'est au grand cri de "CONSIIIIIIIIGNES" que je finis par arriver dans le bureau final, arène munie d'un nombre intéressant d'objets utilisables allant de la table au canapé.
Quelques dialogues émouvants plus tard me voilà repartie vers mon but désormais sacré et duquel rien ne pourrait me détourner, c'est-ju-ré.
"Tu vois, c'était rien du tout. Si tu veux tu viens dans mon orphelinat et je t'éduquerai pour que tu sois une bonne hotesse de bar dans Yakuza 4"De par ma position je décide de couper par la galerie marchande, véritable plaisir pour les yeux, afin de rejoindre les consignes le plus rapidement possible. C'est bien sûr à ce moment là qu'un jeune mal avisé décide de s'emparer du sac d'une pauvre grand-mère pour s'engouffrer dans le... le... Marché couvert ?? Y a une zone que j'avais pas encore vue ?! ARGH. Et ne voilà t-y pas quand le cherchant dans les allées étroites et encombrées je crois une autre tête connue qui me propose de l'accompagner dans sa ronde, ARGH !
Je passe en mode Flash Gordon (dédicace à ZOOM ZOOM ZOOM SHELDOOOON
), ramène le sac ET le gamin à SA grand-mère (non mais !), retourne à l'intérieur du marché couvert pour participer à la ronde de surveillance de ce yakuza proche du peuple, l'aide à faire cracher leurs dents à quelques malotrus dans un finish particulièrement stylé à l'aide d'un thon qui fait la moitié de ma taille (et qui perdit sa tête sur la fin) et m'enfuis littéralement vers la sortie de la galerie marchande... ou presque. Juste un léger détour par cette petite ruelle où j'ai découvert un cercle de jeux clandestin. Le temps de deux ou trois parties à des jeux purement nippons, d'échanger mes points contre des lots et je file pour de vrai vers la sortie...où m'attend une mère épleurée. Je me charge vite fait de son problème -non sans humour- et cavale sur le trottoir en direction de ... Je n'ose même plus penser le mot tellement j'ai la poisse virtuelle qui me colle (pour mon plus grand plaisir, en fait).
Chemin faisant je passe, bien entendu, devant le McDo et décide, bien entendu, de voir quelle chair fraîche m'y attend :3
C'est la seconde dont le nom m'échappe maintenant mais qui n'en est pas moins prête à me suivre quelque part. J'opte pour un restaurant (différent de celui dans lequel je conduisis ma première conquête... je ne suis pas un monstre voyons !)
Une petite cut-scène plus tard nous voilà, elle ravie et moi le ventre plein (et donc ravie manifestement) sur le trottoir. L'occasion pour elle de me faire à son tour une demande d'aide à propos de sa mère, de dettes, et de vilains pâbôs. Comme précédemment je promets de répondre à son appel quand le besoin s'en fait sentir et comme précédemment le besoin se fait sentir après avoir parcouru quelques mètres.
Tiens, la maman habite dans la ruelle où se trouve le cercle de jeux. Je crois que quelqu'un quelque part à décidé de me faire tourner en rond.
Etrangement je solde le problème à l'aide de divers objets contondants, profitant pleinement de ma barre de HEAT entièrement pleine. C'est moche. Très moche. Presque autant que le fait que je me retrouve UNE FOIS DE PLUS à l'opposé de mon objectif. Et oui. Devant le Love Hotel. Après une séance de "gratitude" (non montrée, rêvez pas). Avec ma seconde conquête. Touchant quelques milliers de points d'xp au passage.
Le jeu semble aimer distribuer points et yen par milliers.
"Vous avez demandé l'heure ? Attendez je regarde." Bon, ce coup-ci je me dis que ça ne sert à rien de lutter contre la fatalité. Je me décide pour la première fois à mettre mon focus (dédicace FF13) momentanément de côté ! J'ouvre la carte de la ville et recherche un café sympa dans les environs. Je penche pour le Sky et m'y rends, constatant au passage que la vitrine brisée par mes soins à proximité à été remplacée.
Bingo, l'endroit me plaît. Loungy, tendance, lumière bleutée... Le café du jeudi soir où on sort bien sapée entre amis pour boire des cocktails chers et grands. Je décline l'offre du barman qui me propose la carte et me rends un peu plus loin où des bornes à fléchettes m'attendent, pratiquement certaine qu'on peut y jouer.
Tu m'étonnes. Non seulement on peut y jouer (le tout bien présenté avec un contexte de carte de membre etc) mais en plus il y a masse titres à débloquer, des adversaires de différents niveaux à affronter et, comble du perfectionnisme, trois types de jeux dont les deux officiels (301 et 501 pour ceux qui connaissent ^^).
Je tente bien entendu ma chance -contre un employé du café de niveau débutant- et empoche la mise. Assez de fléchette pour ce soir malgré le déblocage d'un premier titre qui pousse clairement à en chercher d'autre. Les petits malins.
Je me dirige plutôt vers un homme attablé qui me propose un jeu à boire. AH ! Voilà qui me plaît et me rappelle mes heures de gloire estudiantines ! Ni une ni deux j'accepte... Et perd lamentablement, me retrouvant avec une ardoise monstrueuse à payer et une jolie icône me signifiant que je suis bourrée. Mais heu ! M'en fou d'abord ! Et je me dirige vers le fond du bar où m'attend cette fois une table de billard *_____*
"Je vais te plumer comme une noob mais tu le sais pas encore."Sans surprise, différents types de partie sont jouables (8-ball, 9-ball et un troisième encore). Je décide de me lancer en jouant contre un employé débutant une fois de plus et perd mon second jeu de la soirée. Peut-être est-ce du à ma vue brouillée par l'alcool ? Titillée je relance une autre partie et choisis d'inviter une de mes pouliches même si c'est plus cher. J'appelle donc la première des FDMV (alors que je viens de recevoir un sms de la seconde me jurant ses grands dieux que je suis aussi l'homme de sa vie :ange: ).
Victoire écrasante de ma part qui me donne accès à un mini-jeu typique au billard, permettant de gagner un lot de consolation pour la malheureuse perdante.
Cut-scène du premier coup. Pour le reste on ne voit pas les persos.Bien.
Mais c'est pas tout ça.
Consignes.
Et cette fois je me dirige d'un pas décidé, sûr et ferme que rien ni personne n'arrêtera ! Miracle d'ailleurs, j'arrive sur la place qui jouxte le petit escalier menant aux casiers si attendus. L'occasion pour un groupe de jeunes lycéennes de me faire part d'une rumeur typiquement nippone: Des bruits étranges émanent d'une des consignes la nuit...
Quelques marches plus tard je suis enfin dans le saint des saint ! Mon appartement va sûrement partir en flammes avec ma console et ma télé !
Ouf, non. Mais le jeu, qui a visiblement compris mon objectif et a décidé de m'en faire baver jusqu'au bout, me force à parler à une jeune femme alors que les casiers sont visibles juste derrière elle ! Une vraie torture ! Heureusement ça ne prend pas longtemps, juste un prétexte à un mini-tutorial sur comment ramasser des clés perdues en hauteur.
GNNNNNNN.
On.Y.Est.
Je vais ouvrir le premier casier dont je possède la clé et...
*baston*. *Soupir*.
Mais ça y est. L'endroit est calme, désert. Les consignes juste devant moi, à portée de main. D'affreux bruits s'élèvent de l'une d'elles tels les gutturaux cris d'un fantôme de lycéen mort après avoir sauté de l'éternel toit-de-l-école-avec-la-petit-grille-qui-sert-à-rien. Je viens de récupérer la clé concernée en plus. Gasp.
Mais qu'est-ce donc ? Un fantôme, pour de vrai ? Un démon ? Un incube ? Un esprit mal faisant ? Un kappa égaré ?
J'ouvre et...
...
- Spoiler:
Faîtes le jeu :p
edit Koma : j'ai édité ton message juste pour enlever les bouts de balises qui traînaient toutes seules et réajuster les images, je n'ai pas touché au corps du texte