[Films] Je viens de voir...

Je pleurais de rire à Copacabana perso

C'est très drôle, dans le même genre, essaye Megamind ^^

En plus la BO est sublime.

https://www.youtube.com/watch?v=gItGFCshNLc

Enfin vu entre les murs (palme d'or 2008 sur le quotidien d'un
enseignant et d'une classe de demeurés m'as tu vu frimeurs). C'est
épuisant à regarder. On était vraiment aussi chiants à l'époque?
Sérieux, c'est plus un dialogue avec le prof qu'un cours. Les gamins
sont prétentieux et font le concours de la meilleure blague. Certains
ont l'air d'authentiques crétins.
Leur conception du dialogue est étrange: il y'a la classe qui a toujours raison et le prof qui a toujours tort.

Un film qui vaccine contre toute envie d'être prof tant on a envie de tirer dans le tas, sans méchanceté.

T'as déjà vu "La journée de la jupe" ?

Bon c'est pas le même genre...

Nan, pas vu celui-là.

Drôle de journée cinématographique. J'ai souris plusieurs fois devant un film que je m'attendais à trouver bêbête et j'ai été déçue par un blockbuster qui était très prometteur (et une réussite pour beaucoup de monde, je vais pas me faire d'ami sur ce coup là).


Le premier c'est 100 Girls, un film de 2001 qui raconte les péripéties d'un jeune de bahut à la recherche de sa destinée karmique. Comprenez: Un soir il se retrouve coincé dans un ascenseur du campus et couche avec la fille bloquée avec lui, sans jamais voir son visage. Fou d'elle malgré tout, il décide de la retrouver parmi les locataires du dortoirs des filles. Le Donjon des Vierges.

C'est concon, ça vole pas toujours haut -voir rarement en fait- mais certaines blagues à coup de boules de Geisha et autres sont amusantes. Chose insupportable cependant, le doublage français du personnage principal est juste le plus mauvais que j'ai pu entendre depuis des années.


Le second film c'est le deuxième volet des aventures récentes de Sherlock Holmes: A game of Shadows.

J'avais bien aimé le premier avec sa bande son, son dynamisme, le duo Jude Law / Robert Downey Jr et son ambiance générale. Le second film reprend exactement les mêmes ingrédients en y ajoutant le personnage phare de Moriarty dans le rôle du méchant de service. Alors pourquoi je n'ai pas aimé ?

Parce qu'ils ont boosté le concept neo-Sherlock du un. C'est pas très sérieux. Ca fonctionne bien dans le film certes, mais voir un Holmes burlesque pendant plus de 2h00 ça piétine largement mes souvenirs d'enfance quand je lisais ses aventures en vacances. Pourtant ils ont repris les traits du personnages de Conan Doyle: Intelligence remarquable, sens du détail, pro du déguisement, drogué, solitaire et adroit au combat. En lisant cette description on peut d'ailleurs tout à fait penser au personnage de Robert Downey Jr qui joue bien comme à son habitude.

Mais dans ce film on se retrouve avec un drogué façon jeune dans une rave-party qui se bat comme un Jean-Claude Vandamme sous emphèt'. Le passage du train où il se ballade avec son maquille de Joker façon Nolan c'était la goutte d'eau qui fait déborder le vase.

Le film fonctionne mais à choisir, niveau interprétation du mythe, y a pas photo: Je préfère Basil détective privé !

A vos tomates.

*présente une assiette de mozzarella coupée en tranches et de tomates coupées de même, avé un filet d'huile d'olive et un peu de basilic, un peu de fleur de sel aussi, à Ju*

Voilà. Autre chose ?

Nan, j'sais pas, j'avais bien aimé, moi. J'espère qu'ils intègreront, d'une manière ou d'une autre, le chien des Baskerville... :3 Et puis justement, j'avais trouvé que c'était un bel hommage, un clin d'oeil de cinéaste, le maquillage façon Joker.

Bah j'ai bien aimé le film et même le jeu de Downey Jr mais j'aime pas cette version tout public de Holmes.

Par contre Moriarty est dès plus insipide -.-

Il est vrai que je n'ai à peu près aucun point de comparaison avec l'original mais j'aime beaucoup cette version du fin limier pour ma part. Mais je crois aussi que je suis surtout en train de devenir fan tout court des rôles un peu drôles de RDJ.


Les derniers à y être passé:


Battleship

Oui, ça avait l'air nul dès le départ mais c'est pas comme si j'avais le choix entre 50 films de S-F par an.

Bon, le pitch: "jeune rebelle fou-fou avec un bon fond vivant dans l'ombre de son frère haut gradé de la marine des USA" (j'ai pas vraiment retenu son nom) se retrouve embarqué dans un exercice naval international se déroulant pile à l'endroit où des extraterrestres (qui ne font que répondre à une invitation) on décidé d'amerrir. Après avoir ouvert le feu sur ces touristes pour des raisons que seul un membre de la Navy peut "comprendre" (je sais que ça se passe en Amérique mais quand même -__-), les z'aliens décident de mettre toute la région sous cloche imperméable les laissant avec pour seuls opposants 4 (ou 3, je ne sais plus) bâtiments de guerre peuplés de jeunes gens à peine plus expérimentés que des bleus.

Quand on m'a dit que ce film était inspiré de la "bataille navale," concept déposé sous le nom Battleship aux USA par Hasbro, je me suis dit "je vois mal comment on pourrait adapter ça, ça doit simplement être un film d'envahisseurs" et bien non. C'est vraiment l'adaptation du jeu connu de tous. Bien sûr, le tout est "scénarisé" (et je vois pas trop pourquoi y foutre E.T. et sa bande mais soit) mais la majeure partie des combats se déroulent selon le concept totalement stupide du "personne ne voit personne" ce qui donnent lieu à du gros n'importe quoi où de petites astuces qui pourraient donner un infime pourcentage de chance de victoire supplémentaire dans la vraie vie se transforment en techniques pour gagner à coup sûr. Enfin, c'est pas comme si, sans ça, le film aurait été réussi. Rien à garder sinon que mis à part le côté organique, le peu qui est fait niveau effets visuels, est bien fait.


The Divide

Une explosion nucléaire oblige un petit groupe de 8 personnes à trouver refuge dans l'abri de fortune aménagé par une 9e.

Super court comme résumé mais difficile d'en dire plus sans spoiler, il s'agit d'un huis clos pas dégueulasse mais pas génial non plus, avec les situations habituelles et les développements dont on a l'habitude dans ce genre de film. On pourrait critiquer l'absence de certaines réponses (et surtout un de ces doublages pourris o_O) et sa longueur mais pour ma part, je l'ai plutôt bien digéré.


The Cabin in the Woods

Deux couples et leur pote parano-hippie partent passer quelques jours dans la cabane dans les bois (ça c'est du spoil hein ) achetée récemment par le cousin de l'un d'entre-eux. Ailleurs, dans une espèce de complexe scientifique, des collègues discutent à propos d'une sorte de compétition les opposants à de similaires installations à l'étranger. "Quand soudain" débarquent des zombies.

Une excellente surprise: on commence convaincu de voir un bête film d'horreur, on enchaîne en ne sachant plus trop sur quel pied danser, puis on termine chouettement surpris de l'idée derrière cette histoire. Ca reste de l'épouvante, ça reste cliché mais le concept est tellement sympa, enfin, à mon sens tout du moins, que non seulement il parvient à nous faire pardonner certains défauts mais il se permet en plus d'en annuler une bonne quantité d'autres.


Lockout

Snow, une espèce de super John McLaine du futur, se fait arrêter pour une sombre histoire de meurtre et écope de 30 ans de prison. Heureusement, une occasion en or s'offre à lui: sa liberté en échange de la libération de la fille du président des USA qui s'est faite prendre en otage lors d'une mission humanitaire dans le super pénitencier orbital MS-1.

Avec une telle histoire, on se doute bien qu'il s'agit d'un prétexte pour montrer de l'action et des gadgets futuristes mais bizarrement, le film est assez modeste sur ces points, du coup on en vient à se poser des questions sur l'utilité d'avoir posé cette histoire dans cet univers, mais soit. C'est rempli d'incohérences, de scènes où "ouf, une porte de sécurité, nous voici à l'abri" (avec en option la scène où on voit les méchants poursuivre les gentils dans l'interstice rétrécissant), de dialogues prévisibles (en même temps, l'éternel duo du "rustre au bon fond" et de "la bourgeoise qui découvre qu'en fait elle aime la sueur" ne propose pas beaucoup de renouvellement possible) et de décors super pauvres. Série B (ou moins), dommage.

The Divide titille ma curiosité, huis-clos oblige !

Personnellement j'ai aussi vu un film de SF que j'ai trouvé très sympa: Chronicle. Comme un Diary of the Dead, un Apollo 18 ou un (excellent) Troll Hunter, l'histoire est perçue à 90% par l'oeil d'une camera. ici celle d'un lycéen de Seatle. Le garçon est le cliché du loser de lycée américain, celui qui ne peut pas aller à son casier sans se prendre une main dans la gueule.

Un soir, en compagnie de son cousin et d'un jeune populaire du lycée, il découvre une espèce de pierre luminescente dans une grotte. A partir de ce jour là tout va changer. Les trois compères se retrouvent en effet dotés d'un pouvoir de télékinésie. Comme ils sont jeunes et cons ils n'envisagent rien d'autre que des petites blagues plus ou moins innocentes comme faire se déplacer le caddy de course de quelqu'un ou faire flotter un ours en peluche devant une enfant.
Mais plus le temps passe et plus leur pouvoir se renforce, ce dernier étant comme une sorte de muscle qu'on entraine. Jusqu'au jour du premier dérapage (c'est le cas de le dire d'ailleurs).

J'ai trouvé ça très bien fait. C'est sobre, les effets spéciaux sont très bons (simples et efficaces, sans surenchère). Mon film préféré de "super-pouvoirs" avec Push.

Ha le scénariste de The Cabin in the woods me donnait une bonne raison de voir le film, le post de D3 en ajoute une autre o/

Quand à Ju', on en parlait avec Adn' il y a un petit moment, jette un oeil à The Prodigies maintenant (le dessin animé).

Je va faire ça !

Vu le terriblement mauvais Godzilla vs Biollante.
Le scénario est cliché et Biollante est encore une expérience foirée du
gouvernement pour éliminer le pauvre Godzilla (y'a que les enfants qui
se rendent compte qu'il est gentil ou quoi?)

Seul intérêt du film: Biollante, un mélange de plante carnivore et de crocodile, encore plus haute que Godzy.
Dommage que leur combat dure 10 minutes montre en main (temps de son apparition).

Vu in time avec Justin Timberlake: Dans cette parodie des Etats
Unis actuels, le systeme a substitué le temps à l'argent, littéralement:
on est payé et on paye en temps.

Les plus riches peuvent vivre éternelement, les plus pauvres se battent
chaque jour pour survivre littéralement le lendemain. Les riches
maintiennent le systeme en augmentant regulierement et aleatoirement les
taxes, tout en baissant les salaires. Bien sur, le reve américain que
tout le monde peut devenir millionnaire sert à apaiser les foules, mais,
comme dans le systeme actuel, tout est desormais verrouillé pour
sauvegarder les grandes fortunes et empecher les plus pauvres de
partager leurs casinos où on joue du temps de vie humaine.

Très bon petit film de SF et de politique (démocrate, voire de gauche, bien sûr) que je vous recommande.

Pas mauvais mais il faut qu'ils arrêtent de filer des rôles à Timberlake -.-

Pour ma part j'ai vu War Horse, une sorte de Prince Noir nouveau cru (2011). L'histoire d'un cheval élevé par un adolescent dans une ferme anglaise à la veille de la première guerre mondiale. Quand celle-ci éclate le cheval est acheté par l'armée et va passer de propriétaire en propriétaire au gré des destins de ces derniers. C'est à la fois triste, émouvant et drôle par moment.

Mais c'est aussi fort long ce qui joue un peu contre lui. Toujours est-il que dans l'esprit global le film ressemble très fort aux films "animaliers" de quand j'étais petite comme L'ours ou Croc-Blanc et que j'ai pris plaisir à regarder de (fort) long métrage 90's réalisé avec la technique disponible en 2011.

En parlant de film animalier j'ai aussi vu Le territoire des loups (The Grey) avec Liam Neeson et là c'est une autre paire de manche. J'ai pas aimé sauf la fin.
Une équipe d'ouvriers rentre en avion du fin fond de l'Alaska quand ils s'écrasent en plein territoire hostile. Par les conditions climatiques bien entendu mais aussi parce qu'une meute de loups féroces et affamés rôde dans le coin. Heureusement parmi les survivants se trouve un employé un peu à part: Il n'est pas ouvrier mais chasseur. Il était employé par la compagnie pour protéger les travailleurs des attaques de fauves. L'homme va donc prendre sur lui d'emmener la petite troupe vers ce qu'ils espèrent être la survie.

Les environnements sont parlants, les personnages convaincants dans leurs couches de vêtements, le film a une durée standard agréable (1H30) mais la menace des loups énormes (on mange bien dans le coin !) qui s'attaquent à des humains debout et à plusieurs ça fait pas très sérieux. Il y a longtemps qu'on sait qu'un loup peut éventuellement s'attaquer à un homme seul et à terre mais certainement pas à un groupe de marcheurs.

Bref, à prendre pour ce que c'est: Un survival environnement/animaux un peu plus développé qu'un Anaconda et consort mais pas beaucoup plus.

American Reunion

Quelques sourires décrochés, c'est déjà bien mieux que les précédents qui avaient oublié d'être drôles, ceci dit, c'est encore loin de pouvoir porter l'étiquette de comédie. Comme pour les précédents, il n'y a pas vraiment d'histoire, simplement un petit groupe (supposément bien connu des spectateurs, à ceci près qu'en y réfléchissant un peu, on se rend compte qu'on en connaît pratiquement aucun, merci le développement des personnages oublié pendant 3 films :p) vivant de mini-aventures autour d'un évènement central, ici, une réunion d'ancien du lycée.

Je suppose que c'est à voir si on a aimé les premiers, sinon, passez votre chemin (ou allez-y si c'est gratuit et que vous n'avez rien à faire, ce 4e opus a quand même le mérite de faire passer le temps au moins aussi bien qu'un téléfilm de seconde zone diffusé un dimanche après-midi de période de fête sur TF1).


Hall Pass

Mariés depuis un bon moment, deux couples finissent par accepter l'idée que leurs vies sexuelles ne sont plus au beau fixe. Les deux messieurs commençant à avoir des regards un peu trop pesants sur les popotins qui passent, leurs femmes décident de leur donner un "congé de mariage," une semaine sans compte à rendre pendant laquelle ils pourront expérimenter tous les interdits histoire que l'envie leur passe et que leurs vies maritales reprennent ensuite de plus belle. Sauf qu'après 20 ans de fidélité, draguer, ce n'est plus si facile.

Comédie inégale d'un passage à l'autre, pas de moment à faire hurler de rire mais quelques gags, bien que légers, franchement bien calculés (mention spéciale à la dernière scène pré-générique qui est juste magistralement placée), d'autres, beaucoup plus moyens et basiques (voire sans "iques" par moment) rappellent qu'on est pas devant un coup de génie. L'absence d'un vrai duo charismatique est un peu dommage, Owen Wilson étant mis bien plus en avant que son illustre collègue dont je n'ai aucune idée du nom et le tout est un peu trop soutenu par tout un paquet de préjugés sur le mariage, les femmes et les hommes mais si on passe sur ça, y'a moyen de s'amuser, ce fut mon cas.

Détrôa a écrit:

Hall Pass

Mariés depuis un bon moment, deux couples finissent par accepter l'idée que leurs vies sexuelles ne sont plus au beau fixe. Les deux messieurs commençant à avoir des regards un peu trop pesants sur les popotins qui passent, leurs femmes décident de leur donner un "congé de mariage," une semaine sans compte à rendre pendant laquelle ils pourront expérimenter tous les interdits histoire que l'envie leur passe et que leurs vies maritales reprennent ensuite de plus belle. Sauf qu'après 20 ans de fidélité, draguer, ce n'est plus si facile.

Comédie inégale d'un passage à l'autre, pas de moment à faire hurler de rire mais quelques gags, bien que légers, franchement bien calculés (mention spéciale à la dernière scène pré-générique qui est juste magistralement placée), d'autres, beaucoup plus moyens et basiques (voire sans "iques" par moment) rappellent qu'on est pas devant un coup de génie. L'absence d'un vrai duo charismatique est un peu dommage, Owen Wilson étant mis bien plus en avant que son illustre collègue dont je n'ai aucune idée du nom et le tout est un peu trop soutenu par tout un paquet de préjugés sur le mariage, les femmes et les hommes mais si on passe sur ça, y'a moyen de s'amuser, ce fut mon cas.

Sorti sous le titre de "Bon à tirer" en France. Sympathique en effet. Bonne comédie ricaine de base.

Vu the virginity hit, un documentaire de copains qui filment le long periple d'un des leurs pour perdre sa virginité.
Dans la forme, un film intéressant et plutot réussi si on excepte la connerie inhérente à ce genre d'entreprise et le regard sur la jeunesse ricaine qui m'a plus attéré qu'autre chose.

Vu aussi Morse, un film suédois sur une vampire de 12 ans d'apparence et un collégien qui se lie d'amitié avec elle. C'est très bien tourné, mais vraiment chiant.
Il y'avait de nombreuses fois où j'ai hésité à presser "avance rapide".
Après, rien de nouveau sous la lune des vampires (nombreux sont les films du genre que je préfère mille fois à celui-ci) mais ça se regarde, malgré le manque d'originalité.

Je reviens de Prometheus.

Alors, c'est très joli pour l'image et les décors. Les ingénieurs sont très réussis graphiquement et le mystere est bien distillé. Tout ce qui est technologique (notamment la civilsation ingénieur) est très réussi et esthétique. Un bon film d'exploration SF.

Ce que je n'ai pas aimé: la musique est inexistante. Les persos sont peut développés et/ou attachants.
Enfin, le gros problème du film, outre qu'il ets un peu long, est qu'on a parfois l'impression de voir un remake de Alien 1. ça reste très sympa, mais surtout pour les chanceux qui n'ont pas vu Alien 1 et/ou les fans de l'univers d'Alien. Sympa et beau.

Vu aussi the prodigies. J'attendais un film live et je me suis trouvé avec un film d'animation assez moche. Le scénario, assez Stephen King dans les themes, est sympa.

Vu 3 films tres différents!


Le jeu de la mort, le dernier film de Bruce Lee, est assez fastideux
à regarder, mais tout va enfin bien quand on arrive aux 20 dernieres
minutes: Bruce doit atteindre le 4 eme étage d'un restaurant pour
attraper le mafieux en chef et il doit affronter 4 adversaires
redoutables pour ce faire, un par un. Le combat contre le géant Hakim
(qui fait 2,20 m contre 1,70 m pour Bruce Lee) est juste magique et fait
oublier le film qui l'a précédé.
https://www.youtube.com/watch?v=LsSoX6qB9N0&feature=related

The silent house est un film d'angoisse uruguayen tourné façon
Blair witch (enfin, un peu plus léché, avec un appareil digital).
Pendant 55 minutes, on suit une fille qui tente d'echapper à un truc qui
la poursuit dans le noir et dont on ne perçoit que les bruits. C'est
sacrément flippant, car on ne voit rien. Un peu facile peut etre, mais
tres efficace dans l'ambiance.

Enfin, the mississipi burning est juste génial: l'affrontement
entre deux agents du FBI (Bon Dafoe et impérial Hackman) qui enquetent,
en 1964, sur la disparition de 3 activistes dans le sud et le Ku klux
klan local.
C'est efficace, ça prend aux tripes et ça rend bien "hommage" aux fils
de chienne du Klan et à leurs methodes. Si vous voulez un tres bon
policier avec une super ambiance, foncez!

Giromu a écrit:Le jeu de la mort

Le seul film de Bruce Lee qui me botte: la majorité du film a été tournée après la mort de l'acteur, du coup, on a le droit à toute une pléthore de techniques minables pour combler son absence. Doublure pourrie avec des lunettes qui couvrent 75% du visage, bouts d'autres films (avec décors qui correspondent pas ) montés à l'arrache, visage de Bruce Lee collé sur un miroir devant lequel la doublure tente tant bien que mal de se placer, c'est que du bonheur pour les amateurs de nanars.

Ouais. Mais les 20 dernieres minutes quoi. Sans elles, on se serait pas souvenu de ce film.

Giromu a écrit:
Enfin, the mississipi burning est juste génial: l'affrontement
entre deux agents du FBI (Bon Dafoe et impérial Hackman) qui enquetent,
en 1964, sur la disparition de 3 activistes dans le sud et le Ku klux
klan local.
C'est efficace, ça prend aux tripes et ça rend bien "hommage" aux fils
de chienne du Klan et à leurs methodes. Si vous voulez un tres bon
policier avec une super ambiance, foncez!

Ah je suis pas contre un bon policier

Derniers matages, trois films comiques mais pas trop:


The Inbetweeners movie

The Inbetweeners est à la base une série britannique dont les critiques sont généralement assez bonnes, étant tombé sur le film par hasard, je me suis dit que c'était l'occasion d'essayer (ce n'était peut-être pas le meilleur moyen de découvrir me direz-vous). D'après ce que j'ai pu lire vite fait, la série parle de la vie de tous les jours de 4 ados stéréotypés: le nerd, l'amoureux transi, le gentil benêt-séducteur et le connard-pervers de service qui se croit être un Don Juan. Le film transpose ces 4 personnages dans une virée en Grèce faisant office de voyage de fin d'études. Y'a pas vraiment d'histoire, ça suit un chemin devinable dès les premières minutes et les gags ne font que vaguement sourire dans le meilleur des cas. Pour résumer, un genre d'American Pie à l'anglaise.

Je ne sais pas si la série est meilleure ou si ce sont juste les critiques qui ont besoin d'arrêter de dire des conneries mais franchement, si c'est ça le nouvel humour anglais, les Monty Python doivent grincer des dents.


Friends with Benefits

L'histoire d'un jeune directeur artistique qui se lie d'amitié avec la chasseuse de tête l'ayant amené à New York et le fait qu'ils finissent rapidement par décider de se monter dessus "en toute amitié."

Classique et attendu mais pas désagréable du tout, y'a quelques scènes et répliques marantes, les personnages sont sympathiques, pas de quoi sauter au plafond mais pas de quoi s'ennuyer non plus. Une comédie romantique de base réussie, dirais-je.


Take Me Home Tonight

1988, les jours passent et se ressemblent pour Matt, petit génie ayant terminé ses études au MIT mais travaillant dans un vidéo club parce qu'il ne sait pas quoi faire de sa vie. A l'occasion d'une fête "des anciens" débarque Tori, la jolie blonde dont était amoureux le héros à l'époque au lycée et, très vite, Matt se met en tête de séduire la demoiselle à tout prix, quitte à mentir ou enfreindre la loi.

Les acteurs ont une bonne tête des années 80, la bande originale est juste parfaite, tout est bien mis en valeur mais dès les premières minutes, on essaye de nous faire rire et là, c'est le drame. C'aurait peut-être été drôle dans les années 80 (le film a été fait en 2007) mais ce n'est plus le cas aujourd'hui. Y'a des gags, des répliques, des situations faites pour faire rire mais ça ne prend pas, pas du tout. Dommage car ce "gros détail" mis à part, le film est bien fait et à vrai dire, même si je n'ai pas ri, grâce à sa durée très raisonnable (1h30 et des poussières je crois), je ne me suis même pas ennuyé ou dit que c'était un vrai mauvais film mais malgré ça, impossible de nier que le résultat escompté était à des kilomètres de la réalité.

J'ai vu Paycheck de John Woo. I am not impressed. Ca m'a plus fait dormir qu'autre chose, car trop classique à mon gout.

L'ingénieur Michael Jennings travaille sur des projets top-secrets,
commandités par des sociétés de haute technologie. A l'issue de chaque
mission, sa mémoire est "effacée" par contrat pour l'empêcher de
divulguer la moindre information confidentielle. Puis un chèque
substantiel lui est remis.
Mais cette fois, l'enveloppe ne contient
aucun argent, que des objets hétéroclites : à en croire l'employeur,
Jennings aurai renoncé par avance à ses honoraires habituels. Celui-ci
découvre que ces objets sont autant d'indices relatifs à son passé - un
passé "remis à zéro" dont sa mémoire n'a gardé que d'infimes traces. Un
seul espoir pour percer ce mystère : la femme avec qui il travaille et
qu'il aime depuis trois ans : Rachel.
Une course contre la montre
s'engage. Jennings n'a que quelques heures pour recomposer le puzzle de
sa vie et échapper à la vengeance de son implacable employeur.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=48692.html

Vu aussi Mutants, un film d'horreur avec des zombies à la 28 jours plus tard qui se passe dans un hopital de Picardie, sous la neige. Pas mal du tout, un des rares films d'horreur français sympas que j'ai vus, à des coudées au dessus de cette bouse de la horde.

Dans un monde où un terrible virus a contaminé la population, un couple
en fuite tente de trouver une zone où se réfugier. Pris au piège par des
créatures sanguinaires, Marco et Sonia vont devoir lutter pour leur
survie...

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=132124.html

Vu un sympathique petit film de 1980 : Fade To Black (rien à voir avec Metallica :p)
https://www.youtube.com/watch?v=0zaIQu1mZ4E&feature=related

Un jeune fan de ciné pète petit à petit les plombs jusqu'à devenir un tueur pour le moins original puisqu'il imite des personnages qui alimentent sa passion dévorante. Le jeune Christopher joue bien et le film a une ambiance typiquement 80's que je recherchais. Seule ombre au tableau: Les autres personnages sont totalement délaissés. Il est entre autre question d'un psy qui souhaite aider les jeunes en difficulté et qui se trouve en rivalité avec l'inspecteur qui enquête sur les meurtres. On doit le voir 3 minutes. C'est risible parce qu'en plus ils ont essayé de lui coller une histoire d'amour qui n'est qu'un bête plan cul vu que traitée en 47 secondes

Bref, un bon petit film d'époque avec quelques défauts.

edit: Déplacé dans le bon topic.

Blanche Neige et le Chasseur

c'est un bon film d'ados et c'est bizarre. le côté gnangnan prévisible est effectivement de mise, autrement ça va ça passe avec 2g.